Margherita Balzerani, curateur et critique d’art.
DEA Histoire l’art La Sapienza.
2002-2007 Département de l'Action Culturelle du Palais de Tokyo de Paris. Chargée de la préfiguration en 2009 de l’antenne du Palais de Tokyo sur Second Life.
2008-2010 Directrice Adjointe de l’Ecole de Manga Eurasiam-Paris.Directrice Artistique du Reality Festival 2008, premier Festival international d’art spécialement dédié aux réalités virtuelles. Directrice Artistique de l’ATOPIC Festival 2009, et 2010. Co-Curateur et organisateur avec Julien Levesque et Florent di Bartolo de lafiac.com 2010, http://www.lafiac.com/
Membre active de l’O.M.N.S.H. Thèse de Doctorat «Les enjeux esthétiques des jeux vidéo et leur influence sur la création artistique contemporaine».
Depuis 2009 responsable du cours «art et outils numériques» à l’ENSBA Paris.
Responsable du cours Muséographie contemporaine et Médiation culturelle ICART de Paris.
2010/2011 - Responsable des cours : Histoire de l’Art, Art Numérique, Sémiotique de l’image fixe et en
Mouvement, à Supinfogame, Valenciennes.
Elle vit et travaille à Paris
Contact: mbalzerani@gmail.com
Vue par Delphine Kittler, étudiante à l'Ecole Eurasiam.
Convegno "Arte solo per avatar?" Florence 24 octobre 2008. Dans le cadre de Rinascimento Virtuale
Il convegno ha riunito alcuni dei più grandi esperti di arte in Second Life e nei Social Network sia italiani che stranieri che si sono chiesti se l’arte prodotta nei mondi virtuali possa a tutti gli effetti definirsi tale.“Per parlare di arte in Second Life bisogna avere uno spirito pionieristico e anche una buona dose di coraggio” – ha dichiarato Mario Gerosa – “Si tratta di un'arte che non è ancora stata legittimata, che non è entrata ancora nei canali ufficiali della cultura alta, di un'arte prodotta da personaggi che spesso non hanno familiarità con il mondo delle gallerie, dei musei, delle grande fiere internazionali. A parte una ristretta minoranza di artisti già affermati nella vita vera, la maggior parte degli artisti che operano all'interno di Second Life si sono resi conto di avere un certo talento soltanto frequentando il mondo sintetico dei Linden Lab. Di colpo, all'improvviso, si è quindi riversata sulla scena artistica una folla di neofiti, perlopiù autodidatti, che propongono le loro opere su Flickr o nelle gallerie nate all'interno di Second Life. Migliaia di artisti che producono quotidianamente centinaia di opere che nessuno si prende la briga di censire, una moltitudine di fotografie, installazioni, performance, video e architetture che rispondono agli stili più disparati, e che in ogni caso difficilmente sono rapportabili agli stili della realtà. Queste opere, che rischiano di scomparire dall'oggi al domani, sempre in balia degli umori dei loro creatori, appaiono perse in un mare magnum in cui mancano le coordinate”.Sarebbe facile liquidare sbrigativamente tutta la questione, dicendo che in fondo questa non è arte, relegando le sperimentazioni della gente comune nella terra di nessuno degli hobby e del dilettantismo. La mostra Rinascimento Virtuale e il convegno Arte solo per avatar? Intendono invece portare alla luce una cultura sommersa ad alto rischio di estinzione. Il rischio è che si commetta lo stesso errore fatto dalle aziende: accecati dalla foga di salutare i primi arrivati, si dimentica tutto il resto.Hanno partecipato al convegno la curatrice Margherita Balzerani del Palais del Tokyo di Parigi, l’architetto Fabio Fornasari, l’artista e scrittore Stephan Doesinger, l’artista Miltos Manetas, il mass-mediologo Davide Borra, il gallerista Fabio Paris, la studiosa Maria Bettetini, Rosanna Galvani direttrice del Museo del Metaverso, lo scultore Giampiero Moioli, Pierluigi Casolari direttore del progetto Koinup, il giornalista e critico di Exibart Domenico Quaranta, il fotografo Marco Cadioli, Laura Gemini della Facoltà di Sociologia di Urbino, il regista Berardo Carboni, Paolo Valente, Clare Rees in rappresentanza della Linden l’azienda che ha creato Second Life, Carlo Infante e l’artista Giuseppe Stampone.
Les Ateliers Synesthesiques : l'art au delà du regard.
The GUEST of the month "Décembre 2007": Karen Guillorel
Karen Guillorel, Editeur Indépendant.
Née en 1978, noönK (prononcez [nounka]), a coédité Chasseurs de Rêves et Terra Incognita (Grand Prix de l’imaginaire en 2002). Le goût de l’écriture et du voyage l’embarquent régulièrement à l’autre bout de la terre et, entre temps, elle travaille avec bonheur dans le jeu vidéo, l’audiovisuel et la presse, changeant de métier comme de chemise. Depuis deux ans, c’est l’écriture de nouvelles et de scénarios qui la font respirer. Lauréate du concours de nouvelles de Nanterre pour sa nouvelle Le ravissement de Stanislas. Son dernier texte, La raison d’une éclipse, sortira dans un ouvrage collectif chez Egone, en 2008. L’adaptation en scénario de cette novella a été remarquée par le jury du Concours du scénario junior SOPADIN. Karen Guillorel, a aussi reçu le troisième prix du concours de scénario. Acapabar pour Les chantres électroniques, en passe de devenir une bande dessinée. Revenue d’un voyage de sept mois à pied et à vélo de Paris à Jérusalem en passant par Istanbul, elle prépare mille projets d’édition.
Traverses, Livre Voyageur.
Une experience à partager
The GUEST of the month "Janvier 2008": Thierry Falcoz.
Thierry Falcoz, Journaliste Independant, spécialisé dans le Jeu Vidéo depuis 15 ans.
Alors… Je m’appelle Thierry Falcoz, j’ai 34 ans et je suis journaliste spécialisé ‘jeu vidéo’ depuis presque 15 ans. J’ai débuté dans la presse papier spécialisée sur le magazine Génération 4, en 1993. C’était encore l’époque des Amiga et autres Atari ST, avant que le jeu vidéo ne devienne l’industrie florissante qu’elle est aujourd’hui, avant qu’Internet ne soit une partie intégrante de nos vies. J’ai travaillé 6 ans en presse papier. Mon dernier magazine en tant que rédacteur en chef adjoint sera PC Force, un titre orienté ‘développement’, faisant la part belle aux créateurs. Je suis ensuite passé au Net, où j’ai collaboré à la genèse de sites tels que Gamedata et Playscope, avant de créer les chaînes thématiques ‘jeu vidéo’ sur les portails MultiMania et Lycos (2001-2003). Après avoir parlé des jeux vidéo en XML, je suis passé rédacteur en chef de la chaîne TV câblée GameOne, où j’ai créé le pôle Documentaires, tout en gérant 10 émissions d’infos quotidiennes de 26mn pendant 2 ans. J’ai réalisé et supervisé avec un immense bonheur des dizaines de making of (13mn & 26mn) et visité autant de studios de développement pour y découvrir les talents les plus divers… Aujourd’hui je suis freelance et je collabore à des émissions sur Eurosport, Europe 2 TV, NOLIFE TV (où je réalise Vue Subjective, une mensuelle dédiée aux cinéma et à la culture asiatique), GameOne (toujours du doc)… J’écris également pour Eurogamer, Microscoop, XBOX Mag, tout en travaillant sur divers projets de livres et de documentaires… tournant bien sûr autour de la planète Jeux Vidéo !
NoLife
Y a pas que la vraie vie dans la vie!
The GUEST of the month "Février 2008":Pierre de Saint Phalle, écrivain.
The GUEST of the month "Mars 2008": Donna Haraway, Cyberfeministe.
Manifeste Cyborg.
The GUEST of the month "Avril 2008": Michael Stora, Psychanalyste Reel/Virtuel;
The GUEST of the month "Mai 2008": Abdel Bounane, Fondateur Amusement Magazine.
The GUEST of the month "Juin 2008": Adeline Wessang, experte en art contemporain.
The GUEST of the month "Juillet 2008": Julien Tellouck, Animateur Game One
L'Oeil Gourmand.
La rubrique de Tommaso Perrucci. Voyage initiatique à la découverte de ses créations.
SENSATION TERRESTRE.
Terrine déstructurée de carottes jaunes, avec queue de bœuf, accompagnée d’un gaspacho de doux poivrons rouges, parfumés aux herbes. Décoration : chips de topinambour avec une fleur de capucine.
Parfums d'Orient.
Huitre parfumée à la vanille, avec gelé de poivre de sechuam, mousse à la granny smith et flan aux oursins, guacamole et chips de blé dur.
Tommaso Perrucci, Chef Spécialisé dans les amuses bouche au Grand Vefour Paris.
Né à Cerignola en 1982, fis d’un des plus remarquables pâtissiers de la ville, Tommaso pars pour Rimini pour se diplômer dans l’un des meilleurs Instituts d’Hôtellerie de la Romagne l’I.P.S.S.A.R. S.P.Malatesta. Pendant l’été ’99 il commence à travailler comme commis de cuisine dans le cadre extraordinaire de l’Hôtel Roma de Riccione. Les trois années qui suivent se montrent très fructueuses, il apprenne à maitriser les premières techniques de cuisine en côtoyant au Restaurant Ca Lozzio l’un de plus important Chef de sculpture végétale: Beppo Tonon. Cette expérience lui ouvre un nouvel élan dans la découverte des notions d’équilibre des formes et de l’harmonie chromatique des aliments. Après avoir travaillé à coté d’un autre Chef de renommé internationale : G. Nardelli, en 2002 il travaille à l’Acero Rosso, une étoile Michelin. En 2003 il travaille à Londres au George’s Club, avec le Chef G. Bonacina. Après être passé par Bruxelles en 2005 au Jolly Hôtel du Grand Sablon, il rentre en Italie, à Milan dans un des « Sanctuaires du Gusto » : Aimo e Nadia, une étoile Michelin où il apprenne l’essence, la valeur et l’amour du gout. Depuis septembre 2006 coordonné par l’exécutive du Chef F. Pisani il part à Paris pour intégrer la brigade de cuisine du Grand Vèfourdirect par le Chef Guy Martin, 3 étoile Michelin. L’année 2008 s’annonce riche en projets, rêves et à un nouveau départ…
Le Grand Vefour, Paris.
Le Grand Vefour, Paris.
17, rue de Beaujolais 75001 Paris France Accès : Sur les jardins du Palais Royal Metro : Palais Royal Tel : +33 (0)1 42 96 56 27
L'Observatoire des Mondes Numériques en Sciences Humaines
L'EDITO de Thomas GAON, Président de l'OMNSH.
"No problem can be solved from the same level of consciousness that created it.” A. Einstein «Aucun problème ne peut être résolu à partir du niveau de réflexion qui l’a engendré»
5 années d’existence pour l’Observatoire, soit le temps d’une thèse pour nombre d’entre nous : universitaires, chercheurs ou professionnels. Une demi décade passée à décloisonner les carcans universitaires et disciplinaires à la lumière des flambeaux de la révolution numérique. Ensemble, nous nous sommes voués à démontrer que cette révolution numérique était en marche et que seuls le partage, la mutualisation et l’expérience combinée de nos recherches conduiraient à en saisir les impacts, les tenants et les aboutissants ; les vertus créatrices porteuses d’espoir et les sacrifices consentis ou méconnus au cours de son avènement. Au lendemain d’une restructuration interne d’envergure, nous souhaitons partager avec vous les fondements et l’esprit qui nourrissent l’Observatoire des Mondes Numériques en Sciences Humaines. Les mondes numériques accessibles aux seuls navigateurs furent trop souvent pensés sur la base de conjectures et d’hypothèses émises loin des écrans. Aussi, le premier fondement de notre démarche observatoire repose sur la connaissance pratique du terrain, dont l’expérimentation concrète constitue un des modèles, qui seule sait rendre et transmettre la richesse et la complexité des paysages, des cultures et des inventions fondées/transposées dans l’Espace Numérique. Faire l’expérience des pratiques, habiter les sites, intégrer les communautés et parler la langue locale garantissent les conditions d’une perception profonde et non biaisée, avec une subjectivité affichée comme telle, inhérente aux sciences humaines. Notre second principe est le collectif. Elément sine qua non d’un nécessaire recul vis-à-vis de cette subjectivité, le collectif apporte également émulation et collégialité, qui s’opposent à la solitude désespérante du chercheur. Notre regroupement s’établit autour d’un objet commun, les mondes numériques au sens large, et non sur la base de nos origines disciplinaires ou théoriques. Nous considérons les différentes sciences humaines comme superposables à la manière des procédés optiques cernant des périmètres variables. Elles sont autant de focales et de filtres concourant à la précision, au détourage et à la mise en lumière de nos objets de recherche. Notre dernière règle commune est sans conteste aussi fertile qu’ardue, il s’agit de la mutualisation et du partage de la science. Dans le contexte individualiste d’une propriété intellectuelle établie dans le but de permettre au chercheur de monnayer son travail, la mutualisation apparaît comme une dilution, voire un risque de pillage. En établissant la science (épistèmè) comme notre priorité, et non l’opinion (doxa) ou la controverse, nous valorisons l’apport de chacun et la constitution d’un savoir dégagé des contraintes individualistes et propriétaires, des impératifs de rentabilité ou de popularité. La mise en commun des méthodes, outils, données, de l’avancement et des impasses de chaque recherche apporte à tous un soutien et stimule une curiosité intellectuelle libre et partagée. La concrétisation de cet objectif scientifique réside dans notre engagement à diffuser publiquement les résultats et les méthodes de nos recherches afin que chacun s’en saisisse. Le site officiel: www.omnsh.org
Un altro partigiano morto per la libertà.
Hommage à ENZO BIAGI.
ENZO BIAGI Omaggio all'uomo e al giornalista che ha sempre avuto a cuore I FATTI.
«Cari telespettatori, questa potrebbe essere l’ultima puntata de ‘Il Fatto’. Dopo 814 trasmissioni non è il caso di commemorarci. Eventualmente è meglio essere cacciati per aver detto qualche verità che restare a prezzo di certi patteggiamenti » ( Il Fatto, 18 aprile 2002)
Cosi esordiva Enzo Biagi, nel corso dell'ultima puntata de "Il Fatto" il 18 aprile 2002.
Enzo Biagi tornerà in televisione solamente 5 anni dopo: il 22 aprile 2007 aprendo la trasmissione con queste parole:
« Scusate, sono tanto contento di rivedervi. E confesso che sono anche commosso. Ma c'è stato qualche inconveniente tecnico che ci ha impedito di continuare il nostro lavoro. L'intervallo è durato cinque anni. Mi aveva avvolto la nebbia della politica. »
L'ARTICOLO PUBBLICATO SUL CORRIERE DEL 22 APRILE 2007 PER IL SUO RITORNO IN TV La mia Italia che non si arrende di ENZO BIAGI
Torno in tv dopo un intervallo durato cinque anni: insormontabili ragioni che chiamerò tecniche mi hanno impedito di continuare il mio programma. Sono contento, perché alla mia rispettabile età c' è ancora chi mi dà una testimonianza di fiducia e mi offre lavoro. Ma non voglio portar via il posto a nessuno: non debbo far carriera, e non ho lezioni da dare. Voglio solo concludere un discorso interrotto con i telespettatori, ripartire da dove c' eravamo lasciati e guardare avanti. Quante cose succedono intorno a noi. Cercheremo di raccontare che cosa manca agli italiani e di che cosa ha bisogno la gente. Fra poco sarà il 25 aprile. Una data che è parte essenziale della nostra storia: è anche per questo che oggi possiamo sentirci liberi. Una certa Resistenza non è mai finita. C' è sempre da resistere a qualcosa, a certi poteri, a certe promesse, a certi servilismi. Il revisionismo a volte mi offende: in quei giorni ci sono state anche pagine poco onorevoli; e molti di noi, delle Brigate partigiane, erano raccogliticci. Ma nella Resistenza c' è il riconoscimento di una grande dignità. Cosa sarebbe stata l' Italia agli occhi del mondo? Sono un vecchio cronista, testimone di tanti fatti. Alcuni anche terribili. E il mio pensiero va ai colleghi inviati speciali che non sono ritornati dal servizio, e a quelli che speciali non erano, ma rischiavano la vita per raccontare agli altri le pagine tristi della storia.I protagonisti per me sono ancora i fatti, quelli che hanno segnato una generazione: partiremo da uno di questi, e faremo un passo indietro per farne un altro, piccolo, avanti. Senza intenzione di commemorarci.
"J'ai des questions à toutes vos réponses." Woody Allen
« Je trouve que la télévision est très favorable à la culture. Chaque fois que quelqu'un l'allume chez moi, je vais dans la pièce à côté et je lis. » Groucho Marx